les 18-24 ans sont les plus enthousiastes, 83% espèrent voler un jour à bord d’un avion autonome, tandis que ce chiffre tombe à 45% pour la catégorie des 65 ans et plus
D’ici 2040, nous verrons des avions sans pilotes
« Techniquement, le niveau d’automatisation des opérations, que ce soit le décollage, la navigation, l’atterrissage« , est déjà avancé, estime Stéphane Morelli, entre deux démonstrations du Skeyetech, un drone de surveillance pré-programmé qui équipe « une petite dizaine d’entreprises« .
« Sur un très long terme, ça me semble être une évidence » d’aller vers les avions autonomes, complète Oliver Gualdoni. « Mais je pense que pendant cette période, la technologie et les mentalités auront le temps d’évoluer ». Parce qu’entre répondre à un sondage et effectivement monter dans un avion sans pilote, il y a une marge.
Airbus, Boeing, ADP : plusieurs géants du secteur travaillent sur cette thématique des nouvelles mobilités et ont communiqué sur le sujet à l’occasion du salon du Bourget, mais avec des véhicules transportant moins de 10 personnes.
Finalement l’absence de pilotes dans les avions ne semble pas perturber plus que ça les potentiels utilisateurs. D’ailleurs l’autonomie des véhicules dans son intégralité est plutôt bien appréhendée. 63 % des personnes interrogées se sont, par exemple, déclarées prêtes à emprunter des taxis volants autonomes… Un bon point pour Uber qui a récemment déclaré prévoir la sortie d’un tel service à horizon 2022 ou 2023.
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